Né en 1990 à Huskvarna en Suède, Gabriel Isak passionné par l’Art, part étudier à l’étranger. Après avoir été diplômé en beaux-arts en photographie de l’Academy of Art University de San Francisco en 2016, Gabriel va lancer sa carrière de photographe professionnel. Il commence à exposer son travail à la Cannery Gallery de San Francisco, puis va exporter son travail dans diverses expositions renommées comme “Acclimatize“ au Museum of Modern Art de Stockholm en Suède, ou encore pour l’expo “Culture Pop“ à M Contemporary de Sydney en Australie. Aujourd’hui de nouveau installé dans son pays natal, Gabriel reste néanmoins tous le temps en voyage pour exprimer son art.




La solitude de notre inconscient
Les œuvres de Gabriel Isak sont inspirés par la psychologie humaine : des rêves et du romantisme, des cauchemars et de la solitude. Ses thèmes ne sont pas dus au hasard. Gabriel Isak se base sur ses propres expériences et notamment sur ses années de dépression. Il utilise la photographie comme médium pour inviter le spectateur à découvrir un monde surréaliste où les personnages qui le rempli symbolisent notre propre inconscient. Véritable exutoire, son travail est une méditation qui calme le chaos et ses démons pour questionner les profondeurs de l’existence même.




Le spectateur au centre de son histoire
Tous anonymes, les sujets sont emprisonnés dans un monde monochromatique où la solitude règne. Cela permet au spectateur de s’imaginer lui-même comme le sujet principal, reflétant ainsi ses peurs, sa joie et son parcours de vie. Des scènes surréalistes dans lesquelles nous sommes tous invités à y insuffler une part de nous-même pour que l’œuvre raconte notre propre histoire. Une histoire qui sert d’introspection pour l’un, d’exutoire pour l’autre mais qui ne laissera jamais indifférent. Riche en symbolisme, imaginée à l’émotion, l’œuvre de Gabriel Isak par son allure minime se veut le reflet de chaque personne qui posera ses yeux dessus. L’artiste a su rendre le personnel (son passé, ses questionnements, etc…) universel pour qu’il puisse toucher le plus de monde possible.






Retrouvez le travail de Gabriel Isak sur son site et découvrez Plastikophobia, l’œuvre de Von Wong qui dénonce les conséquences de la pollution des gobelets en plastique.