Né à Paris en 1947, Georges Rousse est un artiste contemporain français, cumulant les casquettes de peintre, photographe, plasticien et architecte. Reconnu pour ses innovations esthétique, il expose à travers le monde son œuvre protéiforme tournant autour du trompe-l’œil. Mais rien à voir avec les fantaisies les plus évidentes. Ici, nous sommes en face d’une transformation, d’un glissement, de la dérive de nos perceptions vers de nouvelles réalités, bouleversant nos repères et nos habitudes visuelles à travers la création de visions légèrement décalées de notre monde. Avec un habile exercice entre l’espace réel, celui du lieu où il expose, et l’espace fictif qu’il imagine et modèle avec la peinture et l’architecture, il nous entraîne dans une nouvelle dimension qu’il invoque avec l’aide de la photographie. Ses principales sources d’inspiration proviennent du Land Art et aussi de Malevitch, qu’ils combinent afin d’incarner la peinture dans l’espace d’une manière inédite et radicale. Jugez par vous même !











Peut-on classer ces créations dans la case street-art ?




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4 commentaires
Van
Il s’inscrit dans la continuité de ce que fait Felice Varini,le maître de l’anamorphose in situ. Je crois que le damier bleu est en fait une de ses oeuvres. Pour le reste, ce que fait Rousse est superbe !
Guillaumeguillaume
On va plutôt classer cela dans « art in situ »
« Street art » est une appellation fourre-tout pour celui où celle qui n’a pas fait de recherche sur le sujet. Pour quelqu’un qui n’en fait qu’effleurer la surface.
DN
On peut plus parler d’art contextuel sinon ici, le Street-art est justement le nom du marché qui le concerne aussi sinon dans la discipline on pourrait plutôt parler d’art urbain, je n’avais jamais entendu parler du “in situ” comme un courant à part entière (?!?) mais peut-être ne suis-je pas allé moi non plus dans les limbes, tu pourrais m’en dire plus doc ?