Étudiant en photographie, Jules Vincent entame cette année sa deuxième année à l’EFET (école supérieure de photographie et d’audiovisuel) . Si il aime s’essayer au paysages linaire de la cote normande, ou à une street photographie noir et blanche aux lignes simples, c’est avec la photo d’architecture qu’il nous livre sa première série aboutie.
Fraichement arrivé à Paris, il choisit comme terrain de jeu le quartier de la défense pour se frotter aux lignes franches, aux perspectives multiples et à la géométrie du lieu comme beaucoup de photographes avant lui.
Ce n’est donc pas dans l’originalité du sujet que Jules se démarque mais par un travail sur la matière, les formes et la réflexion des lumières. En optant pour une approche de l’architecture par le détail il fait apparaître de nouvelles lignes de construction qui appellent alors une interrogation sur la réalité, où le très concret devient abstrait.
On ne reconnaitra surement pas le sujet initial, la vision brut du bâtiment, mais on restera séduit par les clairs obscurs et les effets de matière qui subliment forces brutes architecturales.
A suivre.
2 commentaires
Catherine
Beau travail prometteur. Jeune talent assurément.
Andréanne
Jolie série !