Lola Gautier - Le 6 décembre 2023Illustrateur et directeur artistique basé en Inde, Ibrahim Rayintakath travaille aux côtés des plus grands médias : The New York Times, NBC, The Washington Post ou encore The Economist. Au cœur d’illustrations dignes de films de science fiction, l’artiste nous plonge dans un univers futuriste et coloré.
Les œuvres engagées de Ibrahim Rayintakath au service de nombreux médias
Ibrahim Rayintakath produit des œuvres engagées autour de thématiques diverses et variées, pour des médias internationaux de renommée mondiale. On retrouve notamment parmi eux le New York Times, avec lequel l’artiste réalise de multiples projets collaboratifs. Il réalise par exemple des couvertures de critique de livres et des illustrations d’articles. Parmi ces travaux, on retrouve une illustration d’un article intitulé « Comment Poutine a joué ses cartes énergétiques : ce que la guerre a signifié et signifiera pour le paysage énergétique mondial et le projet urgent de décarbonisation. ». Pour illustrer cet article, l’artiste a usé de procédés judicieux et harmonieux : il a allié couleurs chaudes et approche minimaliste pour un rendu authentique.
L’artiste réalise également des illustrations pour la revue The Generalist. Pour illustrer l’article intitulé « Comment les abonnements payants, la polarisation politique et l’IA changent le paysage des médias sociaux ? », Ibrahim Rayintakath a usé d’un décor futuriste, coloré, où il a séparé deux mains par un verre : une mise en scène et une illustration qui mettent le numérique et les intelligences artificielles en valeur.
Focus sur la santé et l’environnement
Ibrahim Rayintakath se concentre dans ses illustrations sur un grand nombre de thématiques. Parmi elles, deux reviennent assidûment : la santé et l’environnement. Il a pu réaliser de nombreuses illustrations, notamment en pleine pandémie de Covid-19. Il a illustré un article dit « Opinion art », écrit par David Wallace-Wells pour le New York Times, intitulé « La pandémie du Covid-19 semble assez brutale ». Un second, qui se présente plutôt comme un article préventif a été illustré par notre artiste. L’article a une visée explicative, à travers laquelle il explique la signification des résultats et l’importance de suivre les précautions même si le test s’avère négatif. Pour illustrer cela, Ibrahim Rayintakath nous plonge à nouveau dans une atmosphère futuriste et colorée.
Côté santé, on retrouve également une illustration pour The New Yorker, qui retrace les thérapies mises au point sur la drépanocytose. Elle dénonce un système médical qui marginalise les afro-américains, qui apparaît comme un véritable frein aux progrès en matière de santé, malgré des premiers résultats de tests très prometteurs.
Pour en découvrir plus sur l’univers d’Ibrahim Rayintakath, rendez-vous sur son site internet
Si l’atmosphère futuriste et colorée de l’artiste vous a inspirée, découvrez sans plus attendre le monde du street-artiste Felipe Pantone
