Ricardo Cavolo. C’est un nom fait d’allitérations en O, aux résonances espagnoles, qui rime avec “couleur”.
Son art pictural anarchique révèle une exécution minutieuse et bien pensée. Il n’hésite pas à faire de son corps la représentation perpétuelle de son œuvre. Actuellement, ses œuvres recouvrent les murs de Paris, Barcelone, Montréal et même Hong Kong!
Beware est allé à sa rencontre lors de sa présence sur le sol québécois – à la galerie Station 16 de Montréal- à l’occasion du vernissage de son exposition « Gol Carajo » mêlant ses deux amours : la peinture et le foot. Une exposition assez singulière puisque c’est durant les 10 jours précèdent l’exposition que Ricardo a réalisé la totalité des œuvres !
-Hé oui ! Mucho fuerto le Ricardo !-
C’est durant cette entrevue que nous avons appris que Ricardo préférait la douce pluie anglaise à l’épuisant soleil espagnol. Nous avons aussi compris que le mélange chaotique qui remplit chaque centimètre de ses créations émergeait d’une organisation bien ficelée.
Crédit photos : Nicolas Lepiller