Après une précédente série appelée Explosions, le photographe danois (skoll) Ken Hermann pousse sa recherche esthétique plus loin avec Explosion 2.0.
Accompagné d’un professionnel pyrotechnique il a su à travers cette série capturer les moindres détails de l’explosion. La rapidité de l’action (de quelques millisecondes) force le photographe à capturer le juste instant comme jamais.
De la violence de l’explosion naît un sentiment de grâce, et poétique : un nuage de fumée flottant tacheté ça et là par les flammes orangées de la combustion. Cette poésie est appuyée par l’absence d’explosifs ou résidus d’explosifs visibles, qui camouflent entièrement l’origine de la déflagration.
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